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Besoin de répit ? Découvrez les journées partagées

D’après le dernier plan pour les maladies neuro évolutives (2025-2030), la France compte aujourd’hui 1,4 millions de personnes vivant avec une maladie d’Alzheimer ou apparentées et 2,5 millions d’aidants.


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Les aidants, ce sont les conjoints, les enfants, les frères et sœurs, qui apportent une aide pour leur proche malade.


Il y a l’aide quotidienne : préparer les repas, faire l’intendance, s’assurer que la personne va bien.


Et puis il y a l’aspect administratif : bien souvent, il s’agit de remplir des dossiers qui ne contiennent pas les bonnes cases, d’essayer d’y voir clair dans le paysage des structures qui accueillent ou accompagnent des personnes « en perte d’autonomie », de devenir super coordinateur entre le passage de l’auxiliaire de vie, le RDV avec le médecin, le passage du kiné et l’heure d’ouverture de la supérette.


Mais surtout, c’est dépenser énormément d’énergie à se questionner :


- Quel est le bon moment pour … ?

- N’est-ce pas trop tôt pour …. ?

- Comment va-t-il/elle va réagir ?

- Est-ce à moi de lui annoncer cela ?

- Est-ce qu’il vaut mieux que je reste pendant son RDV ou pas ?

- D’où vient ce comportement, je ne l’ai jamais connu comme ça ?

- Va-t-il.elle se souvenir de moi ?


Dans le plan national, relevons les axes suivants :


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En réponse concrète, à La Poussinière, le domicile partagé pour les personnes âgées à Thomery, nous proposons depuis plus d’un an des journées partagées.


La personne malade est accueillie une journée dans la semaine au sein de la maison partagée. 


Elle partage le quotidien de la vie de la maison : cuisine, jardin, promenades, activités.

Elle rencontre les autres habitants.


Elle découvre les intervenants et la confiance se construit petit à petit.


Après quelques mois, le lien de confiance se crée naturellement. 


Pour l’aidant, c’est un moment de répit. C’est aussi une période de prise de confiance dans le lieu, avec les autres familles et les intervenants. Enfin, il est très rassurant de pouvoir ressentir et observer si cet accueil est positif pour son proche, et ainsi envisager plus sereinement un aménagement au domicile partagé.


Enfin, n’oublions par les équipes professionnelles, qui peuvent aussi apprendre à connaître la personne accueillie pas à pas avant de l’accompagner au quotidien.


Ainsi, après quelques mois, nous avons pu ensemble travailler le projet d’emménagement sereinement, sans précipitation et au rythme de chacun.


Le projet d’accueil de chacun est construit ensemble (fréquence, nombre de jours, horaires, etc.), aussi n’hésitez pas à nous contacter !


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